Quatrième de couverture
« Avec sa plume teintée d'humour tantôt grinçant, tantôt d'un comique flirtant délibérément avec la caricature, l'auteure désamorce les contrecoups d'une séparation dévastatrice en disséquant par petites tranches de vie les émotions (parfois ambivalentes) et les faits et gestes (pas toujours conséquents, mais ô combien défoulant... y compris par procuration!) de cette Diane qui ressemble à plusieurs d'entre nous. »
Valérie Lessard, Le Droit
« Marie-Renée Lavoie nous fait traverser tous les états d'âme de son héroïne d'une écriture vive, qui fait flèche de tout bois: on ne s'ennuie pas une seconde, accompagnant sa Diane partout, même dans les situations les plus invraisemblables. Après tout, on l'aime, nous, cette femme plate.»
Josée Boileau, Le journal de Québec
Biographie de l'auteur
Avec son don unique pour les dialogues vivants et les personnages plus grands que nature, Marie-Renée Lavoie fait aujourd'hui partie des écrivaines contemporaines les plus reconnues du Québec. Depuis son roman La Petite et le vieux (Prix de la relève Archambault 2011 et Combat des livres Radio-Canada), elle a su gagner à la fois le coeur du public et celui des critiques littéraires. Son roman Les chars meurent aussi a été choisi par la ville de Québec au printemps 2019 pour la campagne "Une ville, un livre". Sa triologie Autopsie d'une femme plate, qui met en scène les aventures de Diane Delaunais, a été rééditée en France en plus d'être traduite en neuf langues (anglais, italien, allemand, roumain, tchèque, espagnol, serbe, arabe et russe). Marie-Renée a également écrit des romans jeunesse, dont la trilogie du Chat moribond, la série Zazie et le roman Le dernier camelot (finaliste au Prix des libraires jeunesse 2019) qui est devenu un classique de la littérature jeunesse fort apprécié des enseignant.es.
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Je suis née plate. Le gène en cause s’est glissé dans la spirale de mon ADN pendant ma conception. Je ne peux pas danser, incapable que je suis de suivre le rythme de la musique. […] Contrairement à ceux qui décodent le rythme, je suis condamnée, moi, à le deviner. Chaque pied que je pose en dansant est une tentative d’attraper la cadence. Je n’y arrive que par hasard, et encore, que très rarement. Je suis officiellement une “pas-debeat”.